Surveillance des retombées atmosphériques en France par analyse de mousses Agrandir l'image

Surveillance des retombées atmosphériques en France par analyse de mousses

Campagne 2016 du dispositif BRAMM

Neuf

Dans le cadre de la campagne de biosurveillance par des mousses réalisée en France en 2016, le rapport expose de manière exhaustive et méthodique l'ensemble des acquis obtenus par l'observatoire BRAMM (par ailleurs mis en place par l'ADEME). Les résultats, présentés et cartographiés pour 13 éléments accumulés dans les mousses,[…]
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Déclinaisons
  • Format électronique

Fiche technique

Auteurs MEYER Caroline, SOULE Patrice, MASSON Pierre, LEBLOND Sébastien, MUSEUM NATIONAL D'HISTOIRE NATURELLE, INRA
Co-auteur(s) ADEME
Public(s) Secteur de la recherche
Thématique Air
Collection Expertises
Date d'édition 2018/02
Nb. de pages 106 P
Format pdf/A4
Langue FR
Périmètre de publication National

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Dans le cadre de la campagne de biosurveillance par des mousses réalisée en France en 2016, le rapport expose de manière exhaustive et méthodique l'ensemble des acquis obtenus par l'observatoire BRAMM (par ailleurs mis en place par l'ADEME). Les résultats, présentés et cartographiés pour 13 éléments accumulés dans les mousses, donnent une évaluation indirecte et relative de la dispersion par voie aérienne de contaminants (azote, aluminium, arsenic, cadmium, chrome, cuivre, fer, mercure, nickel, plomb, antimoine, vanadium et zinc) et dressent l'importance des surfaces du territoire métropolitain concernées par leurs retombées atmosphériques en situation de pollution de fond. La campagne 2016 BRAMM qui est la cinquième campagne nationale de biosurveillance par des analyses de mousses permet à la France, parmi une trentaine d'autres pays en Europe, de participer également aux campagnes européennes coordonnées par le programme international concerté sur les effets de la pollution atmosphérique sur les écosystèmes naturels et les grandes cultures dans le cadre de la convention de Genève sur la pollution atmosphérique transfrontière à longue distance des Nations-Unies (PIC-Végétation/ONU-CEE/GTE). Les métaux dans l'air sont à surveiller car, s'accumulant dans la biosphère et n'étant pas biodégradables, ils peuvent être persistants, se retrouver transférés le long de la chaîne alimentaire et, de par leur toxicité, provoquer d'éventuels effets sur la santé humaine. Les dépôts d'azote sont essentiels à surveiller pour mieux comprendre le cycle de l'azote, un élément nutritif indispensable aux écosystèmes.
Ce travail et les analyses réalisées dressent un état des lieux toujours utiles concernant des éléments traces métalliques.

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