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Biosurveillance des retombées atmosphériques métalliques par les mousses
Analyse de données en France - Campagnes BRAMM 1996, 2000, 2006 et 2011
Neuf
Ce rapport présente le traitement statistique des résultats du dispositif BRAMM (Biosurveillance des retombées atmosphériques métalliques par les mousses). Cela porte sur les résultats disponibles au niveau français pour quatre des campagnes BRAMM (celles de 1996, 2000, 2006 et 2011). Les résultats de la campagne 2016 BRAMM ne sont pas[…]
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Fiche technique
Auteurs | LEQUY-FLAHAULT Emeline, BOURIN A., SAUVAGE Stéphane, LEBLOND Sébastien, MUSEUM NATIONAL D'HISTOIRE NATURELLE |
Co-auteur(s) | ASS RECHERCHE DEVEL METHODE PROCES INDUS |
Public(s) | Secteur de la recherche |
Administration publique | |
Thématique | Air |
Collection | Expertises |
Date d'édition | 2016/12 |
Nb. de pages | 50 P |
Format | pdf/A4 |
Langue | FR |
Périmètre de publication | National |
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Ce rapport présente le traitement statistique des résultats du dispositif BRAMM (Biosurveillance des retombées atmosphériques métalliques par les mousses). Cela porte sur les résultats disponibles au niveau français pour quatre des campagnes BRAMM (celles de 1996, 2000, 2006 et 2011). Les résultats de la campagne 2016 BRAMM ne sont pas traités dans cette analyse statistique. L'étude permet d'interpréter plus finement la base de données du dispositif BRAMM et de mieux comprendre la part d'incertitude des résultats dans un ensemble de variables explicatives : le type de contaminants, l'espèce de mousse, le type de milieu, la période de collecte, le collecteur, la distance à la mer ou l'altitude. Principale conclusion : La variabilité sur le résultat est expliquée en grande partie par l'espèce de mousse choisie (jusqu'à 5 espèces collectées dans le dispositif BRAMM), puis c'est l'origine des éléments traces métalliques (ETM du sol ou ETM de l'atmosphère) ou le type de forêt (feuillus ou conifères). Si la variabilité sur le résultat due à l'espèce de mousses est une conclusion importante, cette variabilité reste inhérente à la technique de biosurveillance. Au niveau français, le choix des espèces, limité à cinq (dans BRAMM), permet d'avoir une variabilité sur le résultat global qui reste plutôt bien maîtrisée. Ce document est une référence sur le suivi en France des dépôts atmosphériques métalliques (campagnes 1996 à 2011 par une méthode de biosurveillance), avec le soutien de l'ADEME jusqu'à la campagne de 2016 du dispositif BRAMM.