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Vieillissement atmosphérique de l'aérosol de combustion de biomasse :
Du potentiel de formation d'aérosol organique secondaire à la modification de l'empreinte chimique à l'échelle moléculaire
Neuf
La combustion de bois est une source de pollution de l'air avec des émissions de particules fines (PM) particulièrement importantes en hiver. Ces émissions primaires ont été étudiées depuis de nombreuses années. Il existe en revanche de grandes incertitudes concernant le devenir de ces émissions dans l'atmosphère, et donc l'impact[…]
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Fiche technique
Auteurs | BERTRAND Amélie, UNIVERSITE AIX-MARSEILLE, CNRS, ADEME |
Public(s) | Secteur de la recherche |
Thématique | Air |
Collection | Expertises |
Date d'édition | 2017/01 |
Format | Site internet |
Langue | FR |
Périmètre de publication | National |
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La combustion de bois est une source de pollution de l'air avec des émissions de particules fines (PM) particulièrement importantes en hiver. Ces émissions primaires ont été étudiées depuis de nombreuses années. Il existe en revanche de grandes incertitudes concernant le devenir de ces émissions dans l'atmosphère, et donc l'impact global de la combustion de bois sur les concentrations en particules dans l'air. Ce travail de thèse a porté sur l'étude du vieillissement en chambre de simulation atmosphérique de l'aérosol (donc des particules PM) émis par trois types d'appareils de chauffage au bois (conçus entre 2000 et 2010 et représentatifs de la politique de renouvellement mis en place par l'ADEME), avec un intérêt particulier pour le potentiel de formation d'aérosol organique secondaire (SOA) et la modification de l'empreinte chimique à l'échelle moléculaire au cours du transport atmosphérique. Cette thèse a également permis de contribuer aux résultats de l'étude VULCAIN soutenue par l'ADEME. En savoir plus, sur cette thèse.