Des Marches Publics Locavores, C'est Possible !
Retour d'expérience en région
Neuf
Consommateurs, parents d'élèves : la demande est de plus en plus importante pour que la restauration collective fasse la part belle aux produits locaux et bio. Les pouvoirs publics fixent eux-mêmes des objectifs à atteindre comme 50% de bio d'ici 2022. Pourtant, du point de vue des producteurs, les marchés[…] Plus de détails
Fiche technique
Auteurs | ADEME OCCITANIE |
Co-auteur(s) | LE CNFPT, FEDERATION DES FRUITS ET LEGUMES D'OCCITANIE, DRAAF, MIN de TOULOUSE et de MONTPELLIER |
Public(s) | Collectivités territoriales |
Thématique | Consommer autrement |
Collection | Ils l'ont fait |
Éditeur(s) | ADEME |
Date d'édition | 2019/06 |
Nb. de pages | 2 P |
Format | pdf/A4 |
Langue | FR |
Périmètre de publication | Régional |
En savoir plus
Consommateurs, parents d'élèves : la demande est de plus en plus importante pour que la restauration collective fasse la part belle aux produits locaux et bio. Les pouvoirs publics fixent eux-mêmes des objectifs à atteindre comme 50% de bio d'ici 2022. Pourtant, du point de vue des producteurs, les marchés publics sont difficiles à obtenir : trop de paperasse, volumes trop importants, prix trop bas et une méconnaissance globale du fonctionnement des marchés publics. Pour les acheteurs publics, le code des marchés publics est trop contraignant. Il est plus facile de faire appel à un seul grossiste qu'à plusieurs petits fournisseurs. Pourtant, relever le défi est aujourd'hui possible, dans le respect des règles. Encore faut-il que producteurs et acheteurs adaptent leurs pratiques ! C'était justement le thème de la formation organisée le 23 novembre 2018 par la Fédération des Fruits et Légumes (FFL), l'ADEME Occitanie, la DRAAF Occitanie et le CNFPT.