De la COP de Paris à Glasgow, le mouvement s'accélère
Journal du Grand Paris Hors-Série 37 & ADEME Ile-de-France
011844
Neuf
Accélérer le mouvement « En six ans, l'Ile-de-France a beaucoup avancé sur la transition énergétique, mais la marge de progression reste importante », résume dans ce nouveau hors-série réalisé en co-édition avec le Journal du Grand Paris , son directeur régional Jérémie Almosni. « Certains résultats témoignent d'évolutions[…]
Plus de détailsFiche technique
Co-auteur(s) | ADEME ILE-DE-FRANCE |
Public(s) | Bureaux d'études |
Entreprises et fédérations professionnelles | |
Collectivités territoriales | |
Administration publique | |
Commerce et artisanat | |
Thématique | Changement climatique |
Energies | |
Batiment | |
Economie circulaire et Déchets | |
Urbanisme, territoires et sols | |
Mobilité et Transports | |
Collection | Hors collection |
Éditeur(s) | JGPmedia / ADEME |
Date d'édition | 2021/11 |
Référence Ademe | 011844 |
Nb. de pages | 56 P |
Format | pdf/A4 |
Langue | FR |
Périmètre de publication | Régional |
En savoir plus
Accélérer le mouvement « En six ans, l'Ile-de-France a beaucoup avancé sur la transition énergétique, mais la marge de progression reste importante », résume dans ce nouveau hors-série réalisé en co-édition avec le Journal du Grand Paris , son directeur régional Jérémie Almosni. « Certains résultats témoignent d'évolutions qui vont dans le bon sens, mais tout l'enjeu est d'accélérer le mouvement ! La dynamiquede tous ceux qui, aujourd'hui, sont en train de réaliser des projets,les partages d'expérience et l'effet d'entraînement que cela peut susciterseront essentiels pour aller plus loin ».Le constat est désormais quasi unanime. De même que l'engagementde tous, élus, dirigeants économiques, citoyens. Mais il faut doncchanger de braquet, comme l'a rappelé récemment le 6° rapportdu Giec, qui a l'immense mérite de montrer que si elles sont inéluctables, les conséquences du réchauffement climatiques auront une ampleur inversement proportionnelle aux efforts consentis. Autrement dit, chaque dixième de degré de réchauffement de la planète épargné réduira les méfaits du changement climatique. Le jeu en vautla chandelle. Ainsi, selon les scénarios du Giec, l'élévation du niveaudes océans, en 2300, variera de 2 à 15 m. A l'avenir, le nombre de vagues de forte chaleur survenant tous les 50 ans, par rapport à celui enregistré entre 1850 et 1900, s'étendra de 1 à 14 selon le niveau plus ou moins élevé de hausse de la température terrestre. « Chaque degré de réchauffement climatique de plus augmente de 7% le nombre d'événements climatiques extrêmes », a souligné Valérie Masson-Delmotte, coprésidente du groupe n° 1 du Giec depuis 2015, lors de la présentation de ce rapport. L'Ile-de-France, qui représente plus d'un tiers du PIB, doit évidemment prendre toute sa part dans ce combat stimulant, et créateur d'emplois.« En Ile-de-France, le potentiel est énorme en matière de récupérationde chaleur fatale, émise notamment par les incinérateurs de déchets.La géothermie constitue également une source d'EnRR * très importante,ainsi que la méthanisation », indique également Jérémie Almosni. Ce hors-série démontre que l'énergie, l'imagination et l'audace sont déjàà l'oeuvre dans le très Grand Paris. Il suffit donc d'accélérer !