Intégration de nouvelles techniques performantes bas-NOx, dites d'"oxydation sans flamme" dans des chaudières au gaz Agrandir l'image

Intégration de nouvelles techniques performantes bas-NOx, dites d'"oxydation sans flamme" dans des chaudières au gaz

Programme CORTEA

Neuf

Le secteur des installations de combustion représente une contribution significative aux émissions de NOx. Les réglementations française et européenne continuent donc de se renforcer : arrêtés ministériels de 2013, révision du BREF LCP (directive IED) entre 2011 et 2016, publication de la directive MCP en 2015. Dans ce contexte, Engie,[…]

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Fiche technique

Auteurs CNRS PARIS, GDF Suez, CNRS NORMANDIE
Public(s) Entreprises et fédérations professionnelles
Secteur de la recherche
Thématique Produire autrement
Recherche et Innovation
Air et bruit
Collection Expertises
Date d'édition 2015/05
Nb. de pages 25 P
Format pdf/A4
Langue FR
Périmètre de publication National

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Le secteur des installations de combustion représente une contribution significative aux émissions de NOx. Les réglementations française et européenne continuent donc de se renforcer : arrêtés ministériels de 2013, révision du BREF LCP (directive IED) entre 2011 et 2016, publication de la directive MCP en 2015. Dans ce contexte, Engie, en partenariat avec le Coria et l'Ecole Centrale de Nantes, a choisi de développer une nouvelle technologie de combustion dite « combustion sans flamme » (CSF) pour une application en chaudière industrielle. Ce type de technologie a déjà fait l'objet de démonstrateurs industriels pour des procédés haute température dans les secteurs du verre et de la métallurgie. Il s'agit de transposer le principe de la CSF au cas des chaudières industrielles où les températures sont nettement plus faibles. Des essais à différentes échelles (pilote de laboratoire et semi-industriel) ont été réalisés progressivement (de 20 kW à 1 MW) en complément du développement d'un modèle de combustion sans flamme permettant de prédire la formation de NOx. Ces essais ont permis de démontrer la capacité de la technologie à atteindre des concentrations de NOx de 50 mg/Nm3.