Infographie - Bilan du Fonds Tourisme Durable à la Réunion et à Mayotte
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Mis en ligne le : 30/06/2025

et à l'amélioration de la qualité de l'air
Cette étude vise à évaluer le potentiel des modes actifs (marche et vélo) pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et améliorer la qualité de l’air à l’échelle nationale, en tenant compte des spécificités territoriales (urbain, périurbain, rural).
Une première méthode a été développée, basée sur la généralisation des meilleures pratiques actuelles, observées sur certains territoires pionniers, à l’ensemble du territoire national. Elle prend en compte également la réduction des distances induite par la progression des déplacements à pied et à vélo. Elle permet de quantifier l'évolution des parts modales de la marche et du vélo dans chaque type de territoire (rural, périurbain, urbain) et la réduction des émissions de gaz à effet de serre associée.
Une deuxième approche établit un potentiel théorique de pratique du vélo beaucoup plus important : un modèle d’analyse des boucles de déplacement effectuées par les français a permis d’estimer un potentiel minimal de déplacements qui ne peuvent être réalisés autrement qu’en voiture et un potentiel maximal de déplacements réalisables à vélo.
Cette étude vise à évaluer le potentiel des modes actifs (marche et vélo) pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et améliorer la qualité de l’air à l’échelle nationale, en tenant compte des spécificités territoriales (urbain, périurbain, rural).
Une première méthode a été développée, basée sur la généralisation des meilleures pratiques actuelles, observées sur certains territoires pionniers, à l’ensemble du territoire national. Elle prend en compte également la réduction des distances induite par la progression des déplacements à pied et à vélo. Elle permet de quantifier l'évolution des parts modales de la marche et du vélo dans chaque type de territoire (rural, périurbain, urbain) et la réduction des émissions de gaz à effet de serre associée.
Une deuxième approche établit un potentiel théorique de pratique du vélo beaucoup plus important : un modèle d’analyse des boucles de déplacement effectuées par les français a permis d’estimer un potentiel minimal de déplacements qui ne peuvent être réalisés autrement qu’en voiture et un potentiel maximal de déplacements réalisables à vélo.