E-Commerce sur le territoire de la Métropole Européenne de LILLE
Etude/Recherche
Mis en ligne le : 29/04/2025
Cette étude a pour but de faire un panorama global des engins mobiles non routiers (EMNR) sur le territoire français en :
1 – Passant en revue la réglementation actuelle et à venir,
2 – Procédant à un panorama des EMNR agricoles et de construction sur le territoire français (marché et parc d’engins),
3 – Réalisant un état de l’art des différentes filières alternatives au diesel existantes en procédant notamment à une analyse économique et environnementale,
4 – Mettant en avant le potentiel de décarbonation des EMNR agricoles et de construction.
Il en ressort que l’adoption du carburant HVO est déjà bien avancée dans le secteur de la construction avec une compatibilité quasi universelle des engins neufs, contrairement au carburant B100 qui n’est pas utilisé. La technologie biométhane est mature mais peu commercialisée, son développement est entravé par un manque d’autonomie à l’utilisation et un faible nombre d’agricultures producteurs de méthane (seuls utilisateurs cibles des constructeurs aujourd’hui). La concurrence des usages de ces deux énergies en France constitue également un frein au déploiement de ces solutions. Concernant la filière électrique, de petits et moyens engins sont déjà commercialisés par les acteurs du marché de la construction notamment, mais ne trouvent pas encore d’acquéreurs ; le développement est moins rapide en agriculture où les utilisations sont très variées, avec des problématiques de tassement de sols liées au poids des engins. Enfin, la technologie hydrogène devrait plutôt couvrir les plus grosses puissances sur le long terme, puisque sur ces catégories d’engins la solution électrique atteint aujourd’hui ses limites. Mais le bilan économique de cette filière est encore trop pénalisé par le coût (et bientôt la concurrence d’usage) du kg d’hydrogène vert.
Cette étude a pour but de faire un panorama global des engins mobiles non routiers (EMNR) sur le territoire français en :
1 – Passant en revue la réglementation actuelle et à venir,
2 – Procédant à un panorama des EMNR agricoles et de construction sur le territoire français (marché et parc d’engins),
3 – Réalisant un état de l’art des différentes filières alternatives au diesel existantes en procédant notamment à une analyse économique et environnementale,
4 – Mettant en avant le potentiel de décarbonation des EMNR agricoles et de construction.
Il en ressort que l’adoption du carburant HVO est déjà bien avancée dans le secteur de la construction avec une compatibilité quasi universelle des engins neufs, contrairement au carburant B100 qui n’est pas utilisé. La technologie biométhane est mature mais peu commercialisée, son développement est entravé par un manque d’autonomie à l’utilisation et un faible nombre d’agricultures producteurs de méthane (seuls utilisateurs cibles des constructeurs aujourd’hui). La concurrence des usages de ces deux énergies en France constitue également un frein au déploiement de ces solutions. Concernant la filière électrique, de petits et moyens engins sont déjà commercialisés par les acteurs du marché de la construction notamment, mais ne trouvent pas encore d’acquéreurs ; le développement est moins rapide en agriculture où les utilisations sont très variées, avec des problématiques de tassement de sols liées au poids des engins. Enfin, la technologie hydrogène devrait plutôt couvrir les plus grosses puissances sur le long terme, puisque sur ces catégories d’engins la solution électrique atteint aujourd’hui ses limites. Mais le bilan économique de cette filière est encore trop pénalisé par le coût (et bientôt la concurrence d’usage) du kg d’hydrogène vert.