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Géothermie de surface : une énergie performante et durable pour les piscines et centres aquatiques

6 bonnes raisons de choisir la géothermie

Neuf

Les communes et les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) sont propriétaires de 85 % des bassins qui sont, pour plus des 4/5 d'entre eux, exploités en gestion directe par les collectivités ou leurs groupements. Les piscines et centres aquatiques sont souvent les bâtiments les plus consommateurs d'énergie dans le[…]

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Déclinaisons
  • Format électronique

Fiche technique

Auteurs BRGM, ADEME
Co-auteur(s) AFPG
Public(s) Collectivités territoriales
Thématique Energies renouvelables, réseaux et stockage
Collection Hors collection
Date d'édition 2021/07
Nb. de pages 16 P
Format pdf/A4
Langue FR
Périmètre de publication National

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Les communes et les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) sont propriétaires de 85 % des bassins qui sont, pour plus des 4/5 d'entre eux, exploités en gestion directe par les collectivités ou leurs groupements. Les piscines et centres aquatiques sont souvent les bâtiments les plus consommateurs d'énergie dans le patrimoine des communes : la consommation énergétique annuelle d'une piscine se situe entre 2 800 et 3 000 kWh/m² de plan d'eau selon les bâtiments, lorsque la consommation annuelle moyenne d'un bâtiment tertiaire est de 250 kWh/m². En effet, ces équipements ont, par nature, des besoins énergétiques importants et ont été construits pour la plupart à une époque à laquelle la maîtrise des consommations énergétiques était une préoccupation annexe. Le parc aquatique constitue donc un gisement potentiel conséquent de sobriété et d'efficacité énergétique, ainsi que de recours aux énergies renouvelables. Les structures actuelles impliquent :

  • Un poids important dans les finances publiques locales en dépense de fonctionnement,
  • Un recours à des énergies encore largement carbonées et peu optimisées, en décalage avec la nécessaire adaptation au changement climatique.

Or, l'utilisation d'une énergie renouvelable et de récupération (EnR&R), même si elle peut nécessiter un appoint d'énergie conventionnelle, permet en moyenne d'abaisser la consommation de gaz ou d'électricité de 30 à 60 %. Cela constitue un avantage écologique et financier !