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Urée du lait : un indicateur pour estimer les rejets azotés et piloter l'alimentation des vaches laitières

Projet CORTEA UREA. Rapport et synthèse

Neuf

Ce projet intitulé « L'urée du lait : un indicateur pour estimer les rejets azotés et piloter l'alimentation des vaches laitières - UREA » a permis de fiabiliser le dosage de l'urée du lait et de construire un modèle de prédiction des rejets azoté de la vache laitière. Ce modèle[…]  Plus de détails

Déclinaisons
  • Format électronique

Fiche technique

Auteurs ROUILLE Benoît, GELE Marine, BRUN-LAFLEUR Laure, DUMERCY Laurent, DURAND Anaïs, EDOUARD Nadège, FAVERDIN Philippe, LORINQUER Elise, MATHIAS Etienne, INSTITUT DE L'ELEVAGE, INRA
Co-auteur(s) CITEPA
Public(s) Secteur de la recherche
Administration publique
Thématique Recherche et Innovation
Air et bruit
Collection Expertises
Date d'édition 2019/03
Nb. de pages 10 P + 48 P
Format pdf/A4
Langue FR
Périmètre de publication National

En savoir plus

Ce projet intitulé « L'urée du lait : un indicateur pour estimer les rejets azotés et piloter l'alimentation des vaches laitières - UREA » a permis de fiabiliser le dosage de l'urée du lait et de construire un modèle de prédiction des rejets azoté de la vache laitière. Ce modèle permet de travailler à l'évaluation des rejets azotés des vaches laitières dans le cadre des inventaires nationaux des émissions gazeuses. Ce rapport final présente le bilan des différentes actions du projet. Un guide de recommandations de bonnes pratiques analytiques a été produit, en collaboration avec les laboratoires interprofessionnels et de contrôle laitier. Ce guide est actuellement en place en pratique sur le terrain. De plus, pour améliorer la maîtrise des rejets azotés, un modèle à l'échelle animal a été créé, testé et validé. Simplifié à travers un métamodèle, il permet de bien prédire les rejets azotés d'un troupeau à partir de la teneur en urée du lait. L'utilisation de ces méta-modèles pour l'estimation des émissions gazeuses (ammoniac et protoxyde d'azote) permet de mieux refléter la variabilité des situations françaises que les méthodes actuellement utilisées pas le CITEPA, en particulier la dynamique d'évolution des rations sur une période donnée, sous réserve de pouvoir récupérer les données de teneur en urée du lait collectées par les contrôles laitiers.