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Amélioration de la représentation des émissions agricoles d'ammoniac pour une meilleure prévision de la qualité de l'air en France

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Cette amélioration peut être obtenue de deux manières différentes et complémentaires : CADASTRE_CIT : une approche bottom-up, basée sur l'outil Cadastre_NH3 focalisé sur les pratiques de fertilisation azotée et combinant la description spatialement et temporellement ultra résolue de ces pratiques et le calcul avec le modèle Volt'Air de la dynamique horaire[…]  Plus de détails

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Fiche technique

Auteurs GENERMONT Sophie, ARTETA Joaquim, COUVIDAT Florian, CRUNAIRE Sabine, DUFOSSE Karine, DUFOUR Gaëlle, EL MSAYRYB Abdellatif, FORTEMS-CHEINEY Audrey, GILLIOT Jean-Marc, MELLEUX Frédérik, INRAe, AgroParisTech, LISA, IMT Nord Europe, ARMINES, INERIS, METEO FRANCE, AtMO GRAND-EST, Atmo Nord Pas de Calais, AIRPARIF
Public(s) Bureaux d'études
Secteur de la recherche
Thématique Air et bruit
Collection Expertises
Éditeur(s) ADEME
Date d'édition 2022/02
Nb. de pages 18 P ; 132 P
Format pdf/A4
Langue FR
Périmètre de publication National

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Cette amélioration peut être obtenue de deux manières différentes et complémentaires : CADASTRE_CIT : une approche bottom-up, basée sur l'outil Cadastre_NH3 focalisé sur les pratiques de fertilisation azotée et combinant la description spatialement et temporellement ultra résolue de ces pratiques et le calcul avec le modèle Volt'Air de la dynamique horaire et de l'intensité des émissions consécutives à chaque fertilisation. NH3SAT : une approche d'inventaires top-down basée sur la mise en œuvre des modèles de chimie transport de la plateforme de la qualité de l'air et des inventaires d'émission nationaux, contraints par les observations satellitaires de NH3. Leur complémentarité a été exploitée pour proposer une troisième approche combinant les deux premières pour tirer profit des avantages de chacune. Le gain de robustesse en prévision de la qualité de l'air a été analysé par confrontation des résultats de simulations aux concentrations d'ammoniac atmosphérique mesurées par satellites et celles acquises spécifiquement au sol à des échelles spatiales et temporelles optimisées pour refléter leur variabilité. Un focus sur la période printanière caractérisée par des épisodes de pollution particulaire ou non a montré tout l'intérêt de cette meilleure temporalisation et spatialisation des émissions, avec des alertes affinées sur les périodes de dépassement de seuils.