
Première base de données sur la qualité de l'air en zone urbaine pour un gradient vertical de concentrations d'ozone et de particules
MESUrPOP : étude exploratoire à Paris pour la mise en évidence des structures urbaines, horizontales et verticales, en ozone et particules
Neuf
Les résultats de ce projet ont permis, d'une part, de constituer la première base de données sur une échelle à la verticale en zone urbaineet, d'autre part, de faire une recommandation aux modélisateurs de la qualité de l'air pour exploiter cette base de données « verticale » afin de[…] Plus de détails
Fiche technique
Auteurs | MICHOUD Vincent, RENARD Jean-Baptiste, GIACOMONI Jérôme, DOUSSIN Jean-François, FORMENTI Paola, ADEME |
Co-auteur(s) | AEROPHILE, LISA, LPC2E |
Public(s) | Bureaux d'études |
Collectivités territoriales | |
Secteur de la recherche | |
Thématique | Air et bruit |
Collection | Expertises |
Date d'édition | 2019/05 |
Nb. de pages | 44 P |
Format | pdf/A4 |
Langue | FR |
Périmètre de publication | National |
En savoir plus
Les résultats de ce projet ont permis, d'une part, de constituer la première base de données sur une échelle à la verticale en zone urbaineet, d'autre part, de faire une recommandation aux modélisateurs de la qualité de l'air pour exploiter cette base de données « verticale » afin de vérifier la paramétrisation de la dynamique verticale et la production chimique en altitude de polluants atmosphériques (ozone et particules). Les mesures de concentrations d'ozone et de particules réalisées à Paris à différentes altitudes (jusqu'à 300 mètres) ont permis de mettre en évidence que :
- L'ozone présente un gradient vertical positif, c'est-à-dire que les concentrations en ozone dans l'air augmentent avec l'altitude ;
- Les plus grosses particules (3 à 10 µm de diamètre) présentent un gradient vertical négatif (en raison de leur dépôt au sol) et qu'il y a une absence de gradient vertical pour les particules les plus fines (0,2 à 3 µm).