Changements de pratiques sociales et TEE : quels leviers de politiques publiques ?
Etude/Recherche
Mis en ligne le : 15/03/2022

Une comparaison inter-EPCI en Nouvelle Aquitaine et en Occitanie. Projet PECAPLO (APR TEES)
Le projet "Prioriser l’enjeu climatique dans l’action publique locale" (PECAPLo), financé dans le cadre de l'APR TEES s'intéresse à la manière dont l’enjeu climatique est approprié par les instances intercommunales. Il s’est appuyé sur une vaste enquête menée dans 27 EPCI localisés en Occitanie et en Nouvelle Aquitaine pour étudié la mise en oeuvre des plans climats territoriaux (PCAET).
Les enseignements montrent que la production des plans climat est généralement interprétée localement comme un ensemble de tâches techniques et réglementaires ne permettant que rarement une appropriation du problème climatique par les acteurs du territoire, élus compris. En second lieu, l'enquête rappelle à quel point la variabilité territoriale dépasse de loin l’hétérogénéité socio-économique et géographique des territoires, et se traduit par une capacité politique inégale à prendre en charge le problème climatique. Enfin, à l’échelle intercommunale, l’action climatique n’est qu’exceptionnellement politisée alors même que la politisation, dans un sens à la fois délibératif et substantiel, constitue l’une des conditions nécessaires à la priorisation des questions climatiques.
Le projet "Prioriser l’enjeu climatique dans l’action publique locale" (PECAPLo), financé dans le cadre de l'APR TEES s'intéresse à la manière dont l’enjeu climatique est approprié par les instances intercommunales. Il s’est appuyé sur une vaste enquête menée dans 27 EPCI localisés en Occitanie et en Nouvelle Aquitaine pour étudié la mise en oeuvre des plans climats territoriaux (PCAET).
Les enseignements montrent que la production des plans climat est généralement interprétée localement comme un ensemble de tâches techniques et réglementaires ne permettant que rarement une appropriation du problème climatique par les acteurs du territoire, élus compris. En second lieu, l'enquête rappelle à quel point la variabilité territoriale dépasse de loin l’hétérogénéité socio-économique et géographique des territoires, et se traduit par une capacité politique inégale à prendre en charge le problème climatique. Enfin, à l’échelle intercommunale, l’action climatique n’est qu’exceptionnellement politisée alors même que la politisation, dans un sens à la fois délibératif et substantiel, constitue l’une des conditions nécessaires à la priorisation des questions climatiques.
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