Contribution du développement de la marche et du vélo à la décarbonation
et à l'amélioration de la qualité de l'air
Présentation
Cette étude vise à évaluer le potentiel des modes actifs (marche et vélo) pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et améliorer la qualité de l’air à l’échelle nationale, en tenant compte des spécificités territoriales (urbain, périurbain, rural).
Une première méthode a été développée, basée sur la généralisation des meilleures pratiques actuelles, observées sur certains territoires pionniers, à l’ensemble du territoire national. Elle prend en compte également la réduction des distances induite par la progression des déplacements à pied et à vélo. Elle permet de quantifier l'évolution des parts modales de la marche et du vélo dans chaque type de territoire (rural, périurbain, urbain) et la réduction des émissions de gaz à effet de serre associée.
Une deuxième approche établit un potentiel théorique de pratique du vélo beaucoup plus important : un modèle d’analyse des boucles de déplacement effectuées par les français a permis d’estimer un potentiel minimal de déplacements qui ne peuvent être réalisés autrement qu’en voiture et un potentiel maximal de déplacements réalisables à vélo.
Caractéristiques
- Date de mise en ligne
- 10/09/2025
- Type de document
- Etude/Recherche
- Nombre de documents
- 2
Cette étude vise à évaluer le potentiel des modes actifs (marche et vélo) pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et améliorer la qualité de l’air à l’échelle nationale, en tenant compte des spécificités territoriales (urbain, périurbain, rural).
Une première méthode a été développée, basée sur la généralisation des meilleures pratiques actuelles, observées sur certains territoires pionniers, à l’ensemble du territoire national. Elle prend en compte également la réduction des distances induite par la progression des déplacements à pied et à vélo. Elle permet de quantifier l'évolution des parts modales de la marche et du vélo dans chaque type de territoire (rural, périurbain, urbain) et la réduction des émissions de gaz à effet de serre associée.
Une deuxième approche établit un potentiel théorique de pratique du vélo beaucoup plus important : un modèle d’analyse des boucles de déplacement effectuées par les français a permis d’estimer un potentiel minimal de déplacements qui ne peuvent être réalisés autrement qu’en voiture et un potentiel maximal de déplacements réalisables à vélo.
- Auteurs
-
BL EVOLUTION
- Public(s)
-
Collectivités territoriales
- Type de document
-
Etude/Recherche
- Thématique
-
Mobilité et Transports
- Collection
-
Expertises
- Date d'édition
-
09/2025
- Date de mise en ligne
-
10/09/2025
- Nombre de documents
-
2
- Langue
-
Français