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Mieux exporter ensemble : l'industrie française des énergies renouvelables

012074

Neuf

Fin 2019, la France, par l'intermédiaire de son parlement, s'est engagée à supprimer les outils de soutien à l'Export pour les technologies les plus carbonées. En parallèle, les acteurs institutionnels impliqués dans le portage de ces outils, Bpifrance, la Direction Générale du Trésor et certains parlementaires ont initié une réflexion[…]  Plus de détails

Déclinaisons
  • Format électronique

Fiche technique

Auteurs SYNDICAT DES ENERGIES RENOUVELABLES
Public(s) Entreprises et fédérations professionnelles
Collectivités territoriales
Secteur de la recherche
Administration publique
Thématique Energies renouvelables, réseaux et stockage
Institutionnel
Collection Hors collection
Éditeur(s) ADEME
Date d'édition 2022/11
Référence Ademe 012074
Nb. de pages 68 P
Format pdf/A4
Langue FR
Périmètre de publication International

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Fin 2019, la France, par l'intermédiaire de son parlement, s'est engagée à supprimer les outils de soutien à l'Export pour les technologies les plus carbonées. En parallèle, les acteurs institutionnels impliqués dans le portage de ces outils, Bpifrance, la Direction Générale du Trésor et certains parlementaires ont initié une réflexion sur l'adaptation des outils Export français liés aux projets énergies renouvelables et accès à l'énergie. Par ailleurs, le Plan France relance et les travaux du CSF (Comité Stratégique de Filière) Nouveaux Systèmes énergétiques ont pour objectif commun le déploiement d'une industrie nationale sur les secteurs stratégiques, notamment les énergies renouvelables. Plusieurs projets industriels sont en cours de déploiement et devront, à termes, trouver également des débouchés à l'Export. Le Syndicat des énergies renouvelables, au travers d'un groupe de travail (GT) ad-hoc, complété par les premiers travaux sur le financement du GT National Accès à l'Énergie ADEME / SER, a réalisé, en octobre 2020, un document présentant 30 propositions d'adaptation des outils export français. Parmi les points importants soulevés lors de ces travaux, on note le niveau de part française exigée dans la mise en œuvre de ces outils qui, confrontée à la réalité industrielle française en matière d'énergies renouvelables et d'accès à l'énergie, s'avère difficile, voire impossible à atteindre. Les raisons invoquées par les donneurs d'ordres sont multiples, les principales étant le manque de connaissances des sous-traitants français dont la part française serait compatible avec les analyses des acteurs institutionnels (Ministère de l'Économie, BPI France...), la perception d'une moindre compétitivité par rapport à la concurrence internationale, un appareil de production inadapté aux cahiers des charges des donneurs d'ordres. Ainsi, l'ADEME et le SER, en partenariat avec le CSF des Nouveaux Systèmes Énergétiques, la Direction Générale du Trésor, Bpifrance Assurance Export, Business France, les Chambres de Commerces et d'Industrie Internationales, le Club ADEME International, la Fédération des Industries Mécaniques, le Medef International et Syntec Ingénierie ont réalisé un recensement des sous-traitants français sur les filières énergies les plus développées à l'international ou possédant un potentiel avéré : énergies marines renouvelables / éolien offshore, éolien terrestre, biomasse, hydroélectricité et énergie solaire. Ce document a donc pour objectif de présenter l'offre française des sous-traitants existants dans les filières précédemment citées et de fournir des indications afin d'orienter les développeurs de projets dans leur réflexion pour maximiser le taux de part française.

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