Etude portant sur l'hydrogène et la méthanation comme procédé de valorisation de l'électricité excédentaire Agrandir l'image

Etude portant sur l'hydrogène et la méthanation comme procédé de valorisation de l'électricité excédentaire

Neuf

L'objet de cette étude est l'utilisation de technologies permettant la conversion de l'électricité en gaz comme procédés de valorisation de l'électricité excédentaire.. Dans le monde anglo-saxon, mais aussi dans de nombreux autres pays, ce concept est appelé Power-to-Gas (PtG). L'intégration massive de sources d'énergie renouvelable fluctuante (éolien, photovoltaïque principalement) dans les[…]  Plus de détails

Déclinaisons
  • Format électronique

Fiche technique

Auteurs EE Consultant, HESPUL, SOLAGRO
Public(s) Bureaux d'études
Entreprises et fédérations professionnelles
Secteur de la recherche
Thématique Energies renouvelables, réseaux et stockage
Recherche et Innovation
Collection Hors collection
Date d'édition 2014/09
Nb. de pages 11 P + 238 P
Format pdf/A4
Langue FR
Périmètre de publication National

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L'objet de cette étude est l'utilisation de technologies permettant la conversion de l'électricité en gaz comme procédés de valorisation de l'électricité excédentaire.. Dans le monde anglo-saxon, mais aussi dans de nombreux autres pays, ce concept est appelé Power-to-Gas (PtG). L'intégration massive de sources d'énergie renouvelable fluctuante (éolien, photovoltaïque principalement) dans les systèmes électriques implique des périodes de plus en plus importantes durant lesquelles la production dépassera la demande. Les quantités mises en jeu pourront dépasser les capacités classiques de flexibilité et de stockage du système électrique : la conversion en un autre vecteur énergétique apparaît donc comme une solution pour valoriser ces excédents. Technologie de base du Power-to-Gas, l'électrolyse permet la conversion d'énergie électrique en énergie chimique sous forme de gaz hydrogène (H2), par décomposition de molécules d'eau (H2O). Le gaz produit peut être valorisé de plusieurs manières sur place : par un industriel pour ses propres besoins de procédé ou par une station-service de remplissage de véhicules fonctionnant à l'hydrogène (piles à combustible) par exemple, ou encore être localement stocké pour être reconverti ultérieurement en électricité via une pile à combustible. Mais il peut aussi être injecté directement dans les réseaux de distribution ou de transport de gaz naturel, créant de fait un couplage entre les différents réseaux et vecteurs énergétiques : ainsi les possibilités de valorisation des excédents d'électricité sont démultipliées tant en termes d'usages finaux qu'en termes temporels et spatiaux. Il existe une version anglaise.