Empreinte environnementale de la gestion territorialisée des déchets alimentaires
Etude/Recherche
Mis en ligne le : 30/06/2025

Réparation des véhicules
Les pièces détachées jouent un rôle essentiel dans la construction, la réparation et l’entretien des véhicules. Depuis la promulgation du décret n° 2016-703 du 30 mai 2016, les professionnels de la réparation des véhicules sont tenus de proposer à leurs clients des pièces issues de l’économie circulaire (PIEC).
La présente étude propose un état des lieux de la mise en œuvre du décret de 2016 et de ses implications pour la filière automobile, ainsi que des éléments sur les perspectives d’évolution de l’utilisation des pièces issues de l’économie circulaire (PIEC).
Elle vise notamment à :
La première partie de l’étude présente les résultats d’une recherche bibliographique s’appuyant sur divers supports médiatiques, notamment des articles de presse et des publications sur les médias sociaux. L’analyse met en évidence deux pics d’intérêt pour les PIEC, en 2016 avec la publication du décret et en 2022-2023 en lien avec la pénurie de pièces détachées neuves.
La deuxième partie de l’étude analyse les effets du décret sur l’ensemble de la filière PIEC, à partir de 70 entretiens et d’enquêtes menées auprès de professionnels et de particuliers. Elle dresse un état des lieux des freins et des leviers à l’utilisation des pièces issues de l’économie circulaire. Une analyse croisée met en évidence les convergences et contradictions, offrant une vision globale et structurée du secteur.
L’étude met en lumière plusieurs conclusions importantes, en particulier :
L’étude identifie comme freins majeurs la disponibilité limitée des pièces, leur coût parfois élevé, et la complexité logistique. Elle insiste aussi sur le besoin de traçabilité et de standardisation pour renforcer la confiance dans la qualité des pièces d’occasion.
Parmi les pistes d’amélioration pour encourager l’usage des PIEC figurent l’élargissement de l’offre, une meilleure intégration dans les outils des réparateurs, et des incitations économiques. L’étude suggère aussi de renforcer la communication sur leurs atouts environnementaux et économiques, avec des garanties solides, pour améliorer leur image et encourager leur adoption.
Les pièces détachées jouent un rôle essentiel dans la construction, la réparation et l’entretien des véhicules. Depuis la promulgation du décret n° 2016-703 du 30 mai 2016, les professionnels de la réparation des véhicules sont tenus de proposer à leurs clients des pièces issues de l’économie circulaire (PIEC).
La présente étude propose un état des lieux de la mise en œuvre du décret de 2016 et de ses implications pour la filière automobile, ainsi que des éléments sur les perspectives d’évolution de l’utilisation des pièces issues de l’économie circulaire (PIEC).
Elle vise notamment à :
La première partie de l’étude présente les résultats d’une recherche bibliographique s’appuyant sur divers supports médiatiques, notamment des articles de presse et des publications sur les médias sociaux. L’analyse met en évidence deux pics d’intérêt pour les PIEC, en 2016 avec la publication du décret et en 2022-2023 en lien avec la pénurie de pièces détachées neuves.
La deuxième partie de l’étude analyse les effets du décret sur l’ensemble de la filière PIEC, à partir de 70 entretiens et d’enquêtes menées auprès de professionnels et de particuliers. Elle dresse un état des lieux des freins et des leviers à l’utilisation des pièces issues de l’économie circulaire. Une analyse croisée met en évidence les convergences et contradictions, offrant une vision globale et structurée du secteur.
L’étude met en lumière plusieurs conclusions importantes, en particulier :
L’étude identifie comme freins majeurs la disponibilité limitée des pièces, leur coût parfois élevé, et la complexité logistique. Elle insiste aussi sur le besoin de traçabilité et de standardisation pour renforcer la confiance dans la qualité des pièces d’occasion.
Parmi les pistes d’amélioration pour encourager l’usage des PIEC figurent l’élargissement de l’offre, une meilleure intégration dans les outils des réparateurs, et des incitations économiques. L’étude suggère aussi de renforcer la communication sur leurs atouts environnementaux et économiques, avec des garanties solides, pour améliorer leur image et encourager leur adoption.