La loi n°2020-105 du 10 février 2020, relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire inscrit la réparation comme un élément essentiel à l'allongement de la durée d'usage des produits, notamment par l'utilisation de l'impression 3D pour des pièces qui ne seraient plus disponibles en stock.
Une étude, menée par l'ADEME en 2017 visait à mesurer les pratiques de réparation des biens de consommation courante par l'utilisation de l'impression 3D. La présente étude vise donc à actualiser les constats posés en 2017, à analyser les principales évolutions observées depuis 5 ans et à identifier les freins et les leviers au développement de l'impression 3D dans le cadre de la réparation.
Sur la base de ces freins et leviers, le rapport intègre des préconisations et pistes d'actions pour le développement de la réparation par l'impression 3D.
La loi n°2020-105 du 10 février 2020, relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire inscrit la réparation comme un élément essentiel à l'allongement de la durée d'usage des produits, notamment par l'utilisation de l'impression 3D pour des pièces qui ne seraient plus disponibles en stock.
Une étude, menée par l'ADEME en 2017 visait à mesurer les pratiques de réparation des biens de consommation courante par l'utilisation de l'impression 3D. La présente étude vise donc à actualiser les constats posés en 2017, à analyser les principales évolutions observées depuis 5 ans et à identifier les freins et les leviers au développement de l'impression 3D dans le cadre de la réparation.
Sur la base de ces freins et leviers, le rapport intègre des préconisations et pistes d'actions pour le développement de la réparation par l'impression 3D.