Détermination des émissions d'espèces semi-volatiles organiques par classes de volatilité
Impact sur la modélisation de la qualité de l'air - Projet EVORA
Neuf
Le projet EVORA avait pour objectif de déterminer les facteurs d'émissions des composés organiques par classes de volatilité pour différents types de véhicules légers (Euro 3 à Euro 5, essence et Diesel) et d'utiliser les données expérimentales afin d'alimenter des simulations de formation d'aérosol organiques secondaires (AOS) avec le modèle[…] Plus de détails
Télécharger les fichiers
- evora-synthesev3.pdf — 3.49MB
- evora-rapport-v3.pdf — 14.69MB
Fiche technique
Auteurs | INERIS, CITEPA |
Co-auteur(s) | Université Gustave Eiffel |
Public(s) | Bureaux d'études |
Entreprises et fédérations professionnelles | |
Secteur de la recherche | |
Thématique | Recherche et Innovation |
Mobilité et transport | |
Air | |
Collection | Expertises |
Date d'édition | 2022/01 |
Nb. de pages | 14 P ; 70 P |
Format | pdf/A4 |
Langue | FR |
Périmètre de publication | National |
En savoir plus
Le projet EVORA avait pour objectif de déterminer les facteurs d'émissions des composés organiques par classes de volatilité pour différents types de véhicules légers (Euro 3 à Euro 5, essence et Diesel) et d'utiliser les données expérimentales afin d'alimenter des simulations de formation d'aérosol organiques secondaires (AOS) avec le modèle de qualité de l'air CHIMERE. Les émissions de huit véhicules ont ainsi été étudiées à partir d'essais sur banc à rouleau selon différents cycles de conduite. Les facteurs d'émissions des espèces organiques gazeuses ont été déterminées de façon ciblée et de façon globale par classes de volatilité. Les analyses ont permis de montrer que les composés organiques de volatilité intermédiaire (COVI) représenteraient 25 % et 33 % des émissions composés organiques gazeux des véhicules Diesel et essence. En évaluant les autres sources d'émissions de COVI à partir de données de la littérature, il a été déterminé qu'au niveau national les COVI proviendraient majoritairement des émissions du secteur des solvants (74 % des émissions) suivi par le trafic routier (8 %) et le chauffage au bois (7 %). Les simulations réalisées avec le modèle CHIMERE ont montré que les émissions COVI induisent des concentrations annuelles de particules comprises entre 0,3 et 1 µg/m3 sur une large partie de l'Europe et en particulier en zone urbaine.